Le surf ressemble à Un sport, un passe-temps. Pour ses initiés, c'est bien plus : une addiction merveilleuse, une initiation exigeante, un art de vivre. Elevé en Californie et à Hawaï, William Finnegan a commencé le surf enfant. Après l'université, il a traqué les vagues aux quatre coins du monde, errant des îles Fidji à l'Indonésie, des plages bondées de Los Angeles aux déserts australiens, des townships de Johannesburg aux falaises de l'île de Madère. D'un gamin aventureux, passionné de littérature, il devint un écrivain, un reporter de guerre pour le New Yorker. À travers ses mémoires, il dépeint une vie à contre-courant, à la recherche d'une autre voie, au-delà des canons de la réussite, de l'argent et du carriérisme ; et avec une infinie pudeur se dessine le portrait d'un homme qui aura trouvé dans son rapport à l'océan une échappatoire au monde et une source constante d'émerveillement. Ode à l'enfance, à l'amitié et à la famille, Jours Barbares formule une éthique de vie, entre le paradis et l'enfer des vagues, où l'océan apparaît toujours comme un purgatoire. Un livre rare dont on ne ressort pas tout à fait indemne, entre Hell's Angels de Hunter S. Thompson et Into The Wild de Jon Krakauer.
William Finnegan a acquis ses galons de journaliste lors de la guerre civile au Soudan, en Afrique du Sud pendant l'Apartheid, dans les Balkans ou à Mogadiscio. Ses reportages sur les théâtres d'opérations sont le fruit de longues immersions et de patientes observations, ou, comme il aime à le résumer : "Je fouine, je parle aux gens, j'attends.' Il a reçu en 2016 pour Jours Barbares le prestigieux Prix Pulitzer.
Mission accomplie.
« Black Jack » Geary a réussi l'impossible : ramener la flotte perdue chez elle près avoir infligé à l'ennemi une succession de défaites. C'est en héros qu'il est revenu. Un héros dont le Sénat de l'Alliance se méfie. Son objectif prochain ne sera-t-il pas de s'emparer du pouvoir ? Que faire de lui ? Geary, pour sa part, estime les conditions réunies pour mettre un terme à la guerre qui ravage l'humanité depuis un siècle ; et il y a urgence car aux frontières des mondes syndics guette une menace inconnue. Si les moyens lui en sont accordés, c'est donc un retour décisif au coeur des territoires syndics qui l'attend, ainsi, peut-être, qu'une première confrontation directe avec les mystérieux aliens. Victorieux clôt le cycle de La flotte perdue , désormais un pic du space opera militaire. Et la romance contrariée de son héros y trouvera peut-être aussi son compte.
Prise dans une tourmente politique, le capitaine Honor Harrington a quitté le service actif. Elle s'est exilée sur la planète Grayson, où elle tente d'oublier le sacrifice de sa carrière en remplissant au mieux son rôle de seigneur d'un fief. Mais les réactionnaires graysoniens se déchaînent contre elle, sans craindre d'aller jusqu'au complot et au meurtre, et la guerre entre Havre et Manticore la rattrape. Passée sous la coupe d'un comité de salut public, la République populaire prépare en effet l'opération « Poignard ». Honor doit surmonter ses angoisses et ses doutes pour se mettre au service de sa planète d'adoption. La laissera-t-on faire ?
Marine de l'espace, combats dans les étoiles... la saga d'Honor Harrington adapte la grande tradition des romans d'aventures maritimes à la science-fiction. David Weber y renouvelle le space opera classique avec une rare virtuosité.
« Tu es en train de mourir, murmura la voix, et j'en ai appris davantage sur la mort que je n'aurais cru possible. Alors dis-moi... es-tu sérieuse ? Serais-tu réellement prête à tout donner pour te venger ?
- Tout ! hoqueta Alicia.
- Pèse bien le pour et le contre, petite. Je peux t'offrir ce que tu veux... mais le prix en sera... toi-même. Es-tu disposée à payer aussi cher ? »
Ainsi le capitaine Alicia DeVries, du Cadre impérial, survit contre toute raison à la destruction de son monde natal et au massacre de sa famille au cours du raid de mystérieux pirates. Et elle ne vivra plus que pour la vengeance.
Mais qui l'a sauvée ? Pour quelle rétribution ? Dans la longue quête qui doit la mener aux têtes pensantes d'un gigantesque complot contre l'Empire, mise au ban de la Flotte, confrontée à des trafiquants de tout poil, Alicia découvrira ce qu'il en coûte d'emprunter la voie des Furies.
Un roman complet de David Weber, l'auteur de la saga d'Honor Harrington.
Père de bientôt deux enfants, il va pourtant falloir que le lieutenant Rob Geary reprenne du service actif, de même que la fusilière Mele Darcy. À bord du Sabre, le dernier survivant de la flotte de Glenlyon.
Car dans les colonies lointaines, que la Terre ne protège plus de son aile, la situation s'est encore aggravée. Blocus, interventions armées et guerres d'annexion sous couvert d'opérations « humanitaires », la conquérante Scatha et ses complices sont à la manoeuvre. Comment leur résister avec si peu ? Le désastre est écrit d'avance.
Sauf... si les systèmes stellaires agressés réussissaient à nouer des alliances, ce qui exigerait un altruisme fructueux. Faudrait-il encore faire le premier pas.
Trois ans après les événements d'Avant-garde, Ascendant développe les tribulations des colonies nouvelles de l'humanité ; Jack Campbell nous y plonge dans des batailles spatiales d'une exceptionnelle qualité.
La Bourse est à la hausse. Le produit - le MDS-316, dernier cri de la technologie en matière d'écran holographique - va se vendre comme des petits pains. Tous les voyants sont au vert et Johnson Mukerjii, P.-D.G. de la M.D.S., se frotte les mains. C'est oublier, hélas, que la Galaxie et sa population de monstres visqueux aux yeux pédonculés ourdissent une O.P.A. hostile contre la Terre et les Terriens.
Les extraterrestres débarquent.
Non pas en envahisseurs belliqueux armés de désintégrateurs, mais en mercantis capitalistes, avec pour seule arme la loi inexorable du marché.
La Terre va tomber au fin fond du tiers-monde de la Galaxie. Mais Mukerjii sait sa leçon. À la rue, sans le sou, abandonné par une épouse vénale, il reviendra en conquérant, avec son seul savoir-faire d'industriel et le Grand Rêve américain dans ses bagages...
« Fable loufoque, Space O.P.A. est aussi une critique féroce des marchés financiers et de leurs spécialistes, et une véritable démonstration de l'efficacité de l'esprit d'entreprise. Mukerjii qu'aucun malheur n'abat, qui se bat sans cesse, qui s'adapte et innove, toujours en quête de clients et de profits, est, tout simplement, un entrepreneur. L'humour de Greg Costikyan est plus convaincant encore que la rigoureuse démonstration de l'austère Capitalisme, socialisme et démocratie (Joseph Schumpeter, 1942). » - Michel Pébereau, Le Journal du dimanche
Débordé par la puissance de feu des Mondes syndiqués, le légendaire capitaine « Black Jack » Geary poursuit son dangereux repli à travers l'espace ennemi. « Ressuscité des morts » au bout d'un siècle d'animation suspendue et rendu à la flotte de l'Alliance, il tente désespérément de la ramener au bercail avec son précieux trophée, la clef de l'hypernet du Syndic, qui est aussi celle de la victoire... La flotte ne comptait pas s'attarder dans le système en déshérence de Sutrah, mais c'était avant d'apprendre qu'il hébergeait des milliers de prisonniers de guerre. Dont le flamboyant capitaine Francesco Falco, autrefois adoré des médias et des foules, adulé par ses troupes, privé de combats et de gloire par vingt ans de captivité. Héros contre héros, « Black Jack » contre Falco le « battant », un duel d'influence se prépare au sein de la flotte. Le plus grand danger désormais ne vient-il pas de l'intérieur ?
La Terre n'est plus le centre de l'univers.
La découverte de la propulsion par saut d'étoile en étoile a changé la donne et l'humanité ne cesse d'implanter de nouvelles colonies. Toujours plus loin. Trop loin désormais du parapluie protecteur de la Terre, laquelle, d'ailleurs, a cessé de s'impliquer. Fatigue d'empire...
En l'absence du gendarme, les colonies lointaines basculent dans un Far West interstellaire où la tentation est trop forte pour certains pouvoirs locaux de se convertir au chantage, à la piraterie, à l'esclavage voire à l'holocauste.
Aspirés par les conflits qui se multiplient sur leur chemin, voici quatre personnages d'une galerie de colons partis en quête d'une vie nouvelle ; parmi eux, un certain lieutenant Rob Geary. À ces quatre figures-là de défendre la liberté de leurs concitoyens et d'éviter que la diaspora humaine ne se noie dans un perpétuel champ de bataille.
C'est un Jack Campbell au meilleur de sa forme qui amorce ici en trombe une « préquelle » à « La flotte perdue ».
La liberté ou la mort.La dignité ou l'esclavage.Donner vie à un ordre nouveau ou mourir dans l'effondrement de l'ancien.Dans le système stellaire de Midway, la présidente Iceni et le général Drakon cherchent à construire un avenir différent de la brutale férule du Syndicat. Et il faut pour cela rallier les systèmes voisins à leur cause.Mais comment réussir quand l'oppresseur n'a pas renoncé à remettre la main sur les mondes libérés ?Quand de nouveaux seigneurs de la guerre surgissent pour se tailler un empire sur les ruines de l'ancien ?Quand les impénétrables Énigmas oeuvrent dans l'ombre à l'éradication de l'humanité ?Et quand vos plus proches collaborateurs ourdissent des complots de fanatiques ?Après L'Honneur terni, Bouclier périlleux et Glaive imparfait, Lance brisée clôt le cycle des « Étoiles perdues ».
Le jour de mes soixante-quinze ans, je me suis engagé. Ainsi commençait Le Vieil Homme et la Guerre, le premier livre de la série.Mais le temps a passé depuis l'époque où la Terre alimentait benoîtement les Forces de défense coloniale en chair à canon. À présent, c'est non. Et, désormais au régime sec, l'Union coloniale regarde se cabrer les mondes qu'elle a colonisés. On se prend ici et là à revendiquer son indépendance. Et tout cela dans un univers où l'espèce humaine est loin d'avoir la cote. Prise entre le Conclave, puissante confédération de peuples extraterrestres plus ou moins hostiles, et ses propres divisions internes, l'humanité pourrait bien faire face à... la fin de tout.D'autant qu'une organisation clandestine en plein essor hante l'obscurité de l'espace et qu'elle oeuvre à dresser par tous les moyens les uns contre les autres.« Salut. Je m'appelle Rafe Daquin et je suis un cerveau en boîte. »
Traquée par les Syndics, la flotte de l'Alliance poursuit son dangereux repli à travers l'espace ennemi. Le capitaine « Black Jack » Geary tente désespérément de la ramener au bercail avec son trophée, la clef de l'hypernet du Syndic, qui est aussi celle de la victoire...
Jamais Geary n'avait pris décision aussi risquée, au point que ses officiers s'interrogent sur sa santé mentale : retourner dans le système de Lakota, où ses vaisseaux ont failli connaître la destruction.
Mais tandis qu'il s'efforce de garder une longueur d'avance sur l'ennemi, il lui faut encore affronter une conspiration au sein même de sa flotte, dont les instigateurs restent dans l'ombre... Alors que le rideau se lève sur la menace effroyable qu'une civilisation extraterrestre inconnue fait peser sur l'humanité.
Que les vivantes étoiles lui viennent en aide !
Jack Campbell, ancien officier de la Navy, met au service d'un récit palpitant ses compétences et son oeil d'expert, qui transparaissent dans la maîtrise des codes martiaux, l'agencement des conflits et les tensions liées aux combats.
Sans le ralliement des autres nations de l'humanité dans les étoiles, la Terre est condamnée à disparaître sous les assauts de l'Hégémonie krag, trop puissante, trop peuplée. C'est pourquoi, à côté de l'effort de guerre, l'activité diplomatique est décisive. Ainsi Max Robichaux, commandant du destroyer Cumberland, doit-il accompagner le docteur Ibrahim Sahin à la rencontre des dirigeants du Royaume unifié de Rashid...
Encore faudrait-il que les Krags les laissent faire et que les traîtres soient neutralisés. Encore faudrait-il que l'incompétence de certains officiers de la Spatiale ne compromette pas les nouveaux espoirs d'alliance. Encore faudrait-il aussi que les Vaaachs, cette espèce brutale à la technologie supérieure, ne se mêlent pas d'intervenir inopportunément.
Et peut-être faudrait-il comprendre enfin ce qui nourrit la haine destructrice des Krags.
Faisant suite à Coeurs d'acier, voici le deuxième roman de la trilogie « De haut bord », dans la grande tradition des space operas militaires.
« Je peux vous garantir qu'il y a au moins une chose que nous ne ferons pas, mon ami.
- Laquelle, mon ami ?
- Renoncer. Ni l'équipage ni moi ne renoncerons jamais. »
Max Robichaux fixa de nouveau les étoiles.
« Jamais. »
Huit vaisseaux de guerre krags contre le Cumberland. Une chance sur un million d'échapper à la destruction. Mais le capitaine Max Robichaux est un roué qui ne répugne pas à s'affranchir des dogmes et des coutumes de l'affrontement dans l'espace. Alors, peut-être, s'il lui vient à l'idée quelque stratagème tordu...
De toute façon, la mission qui les attend, son équipage et lui, doit les conduire au plus profond du territoire ennemi. Une mission déterminante pour l'évolution de la guerre, mais qui pourrait bien s'achever en désastre.
Des vaisseaux qui atteignent un âge où leur fiabilité devient problématique, des ordres de mission aberrants, des subordonnés dont la loyauté n'est pas toujours acquise : il n'a pas fallu longtemps à l'amiral John Geary pour comprendre que l'Amirauté de l'Alliance veut se débarrasser de lui après sa victoire contre les Mondes syndiqués. Les extraterrestres y prêtent d'ailleurs volontiers la main. La rencontre avec les mystérieux Énigmas ne s'est traduite que par des affrontements et voici que l'armada spatiale d'une nouvelle espèce rejette aussi toute tentative de communication et se déchaîne contre la flotte humaine. Aucun contact pacifique ne serait-il décidément possible? Mais peut-être l'espoir viendra-t-il d'où on ne l'attend pas car, dit-on, l'habit ne fait pas le moine. Invulnérable fait suite à Intrépide.
« Black Jack » Geary viendra-t-il jamais à bout des épreuves qui se succèdent et s'empilent sur son chemin ? À peine sa flotte est-elle revenue de son périple dans l'espace inexploré par-delà la frontière des mondes humains qu'il lui faut intervenir dans le système de Midway tout récemment libéré. Car le pouvoir central syndic, en dépit de sa défaite, n'a pas dit son dernier mot et cherche à reprendre la main... Pourtant, il faut retourner dans l'Alliance, il faut y escorter les délégués de cette espèce extraterrestre qu'on nomme désormais les Danseurs, de possibles alliés, mais dont les motivations restent mystérieuses. Il faut y ramener aussi l'Invulnérable, ce gigantesque bâtiment capturé de haute lutte : une prise inestimable. Tout cela sans savoir quelles machinations politiques attendent l'amiral Geary dans sa patrie, sans savoir non plus quelle extravagante requête les Danseurs présenteront à l'humanité.
Gardien fait suite à Intrépide et Invulnérable.
L'autorité des Mondes syndiqués s'efondre lentement depuis la victoire de l'Alliance. Partout éclatent sécessions et guerres civiles. Que deviendront ces "étoiles perdues" ?
De haute lutte, Midway a conquis son indépendance et s'est soustrait à la dictature syndic. Mais à quoi bon si c'est pour retomber sous sa férule faute d'une flotte spatiale digne de ce nom ? Ou pour succomber à une nouvelle agression des Énigmas ? Car voici que surgissent aux confins du système stellaire les vaisseaux du CECH Boyens, le vieil adversaire, ainsi que ceux des extraterrestres belliqueux. Et, même si Black Jack Geary, de retour d'expédition dans l'espace inexploré, a plus d'un tour dans son sac pour venir à bout de ces menaces-là, il reste l'ennemi dans l'ombre, l'ennemi infiltré, celui qui vous sourit en face et vous poignarde dans le dos.
Des siècles de conditionnement dictatorial ne s'effacent pas d'un trait. La présidente Gwen Iceni et le général Drakon vont pourtant devoir apprendre à se faire confiance alors que le danger rôde autour d'eux.
Tandis que "Par-delà la frontière" prolonge la série "La flotte perdue", Jack Campbell a ouvert un troisième champ de romans imbriqués, celui des "Étoiles perdues". Bouclier périlleux fait suite à L'Honneur terni.
Avec Bouclier périlleux et Honneur terni, l'auteur de « La flotte perdue », la série de s.-f. militaire à succès que prolonge « Par-delà la frontière », ouvre un troisième champ de romans imbriqués, « Les étoiles perdues ».
Midway libéré, mais Midway menacé, Midway subverti, Midway contraint à résister à des dangers dont on ignore quand et d'où ils surgiront. Le général Drakon va partir en mission dans le système voisin d'Ulindi où un potentat local aux visées impérialistes s'est emparé du pouvoir. Piège, Ulindi, car le Syndicat n'a pas dit son dernier mot ; piège encore, la menace de soulèvement que la présidente Iceni va devoir affronter seule... L'étau se resserre. Comme toujours, l'issue serait un pas nouveau vers la démocratie, mais le parcours et la culture de nos deux dirigeants rebelles ne leur rendent pas cette démarche naturelle... Tandis que « Par-delà la frontière » prolonge la série de « La flotte perdue », Jack Campbell a ouvert un troisième champ de romans imbriqués, celui des « Étoiles perdues ». Glaive imparfait fait suite à L'Honneur terni et Bouclier péril leux.
« Allons-nous filer les vaisseaux obscurs jusque chez nous pour découvrir leur base ?- Oui.- Une flotte secrète de bâtiments plus lourdement armés, plus maniables que les nôtres et capables d'une accélération supérieure ?- Oui.- Et sous le contrôle d'IA tactiques conçues pour vous surpasser. Vous savez que je vous suivrais jusqu'en enfer si vous me le demandiez. Comme la flotte tout entière, au demeurant. Mais comment, au nom de nos ancêtres, pourrions-nous vaincre cet ennemi ?- Je n'en sais rien encore, dit Geary. Mais nous devons découvrir sa base, et il nous faudra bien le vaincre si le gouvernement ne se résout pas à débrancher le monstre qu'il a créé. Échouons à le détruire et l'Alliance n'y survivra pas. »N'y a-t-il pas un risque insensé à ce que des robots tueurs intelligents échappent à ceux qui les ont programmés?
21 janvier 2315. Par ordre de l'amiral « Tape-Dur » Hornmeyer, le lieutenant Max Robichaux, promu capitaine de corvette, reçoit le commandement du Cumberland, un destroyer de classe Khyber, moderne et puissant. Sa mission : arpenter furtivement le Libre Corridor et frapper le commerce krag afin de saper son effort de guerre. Son handicap : un équipage sans moral et sans efficacité qui a fait du Cumberland la risée de la flotte.
L'Union de la Terre et des Mondes colonisés est en guerre contre les Krags, une guerre sans merci dont l'issue peut conduire à l'anéantissement de l'espèce humaine. Son bouclier : la Spatiale de l'Union, coeurs d'acier ses vaisseaux, coeurs d'acier ses matelots et ses officiers.
Dans la tradition du roman de la marine à voile, la trilogie « De haut bord » s'inscrit au plus haut de ses prédécesseurs : Honor Harrington et la Flotte perdue, David Weber et Jack Campbell.
Le capitaine John Geary, dit « Black Jack », rescapé d'un sommeil de survie de cent ans, a réussi l'impossible : il a ramené chez elle la flotte de l'Alliance piégée au coeur de l'espace ennemi des Mondes syndiqués, puis il a mis un terme à la guerre de cent ans qui opposait les deux puissances. C'est là que nous l'avons quitté à la fin de Victorieux, le dernier livre de « La flotte perdue ». Mais une lourde menaces reste en suspens : au-delà des Mondes syndiqués se tapit une mystérieuse espèce non humaine qui est clandestinement intervenue dans la guerre pour conduire les hommes à s'entre-déchirer. Inquiet de la popularité du désormais amiral Geary, le gouvernement de l'Alliance lui confie la mission d'enquêter par-delà la frontière sur ces extraterrestres inconnus...
Voici le premier livre de "Par-delà la frontière" , nouvelle série de la "La flotte perdue".
Un hradani champion de Tomanãk, le dieu de la Guerre ? Comment l'admettre quand on est un Sothõï, un ennemi héréditaire de cette race maudite ? Une menace pèse pourtant sur le royaume sothõï et ses fabuleux coursiers qui, s'ils s'unissent à un homme, en font un formidable cavalier du vent. Une menace qui exigera l'intervention conjuguée de pas moins de deux champions, Bahzell Bahnakson et Kaeritha Seldandottir.
De plus puissants dieux des Ténèbres sont à l'oeuvre dans l'obscurité et leurs plans sont diaboliques.
Cavaliers du vent fait suite à Champions de Tomanãk et au Serment de l'épée.
Le royaume sothõï est en effervescence. La construction d'un tunnel et d'un canal par les nains de Troglodye, associés à la Confédération des hradanis du Nord et au baron Tellian de Balthar, va bouleverser les circuits commerciaux dans la région. Certains sont prêts à tout pour l'empêcher, jusqu'à rameuter les goules de la Lande.
Bahzell Bahnakson, champion de Tomanãk et cavalier du vent, aura fort à faire. D'autant que Leeana, fille de Tellian et vierge guerrière, a des visées sur lui. Et que les dieux des Ténèbres, dans leur éternel combat contre la Lumière, sont résolus à faire appel aux plus puissants démons.
La vierge guerrière est le quatrième roman de la saga du dieu de la Guerre.
Ne croyez pas la Terre, monde d'origine de l'espèce humaine, désormais à l'abri des complots et des attentats. « Black Jack » Geary, qui vient d'y accompagner les ineffables Danseurs et de découvrir la planète de ces ancêtres, en fera les frais.
Et ce n'est que le premier des obstacles qu'il lui faudra franchir car le gouvernement de l'Alliance, terrifié par sa popularité, le soupçonne toujours de vouloir s'emparer d'un pouvoir qu'il ne veut pourtant pas et ne cesse de lui confier des missions piégées avec des moyens de plus en plus insuffisants.
Les politiciens iront-ils jusqu'à ouvrir la boîte de Pandore et briser un tabou séculaire pour arriver à leurs fons, au risque de provoquer la ruine de l'humanité en lui opposant un adversaire que nul ne saurait vaincre ?
Inébranlable fait suite à Intrépide, Invulnérable et Gardien.
L'autorité des Mondes syndiqués s'effondre lentement depuis la victoire de l'Alliance. Partout éclatent sécessions et guerres civiles. Que deviendront ces « étoiles perdues » ?Midway par exemple. À la tête de la rébellion, Gwen Iceni, la commandante en chef des forces spatiales, s'est alliée à Drakon, lui-même en charge des forces terrestres. Et tous deux n'ont d'expérience que celle de la dictature : défiance et trahison, intrigue et assassinat. Leur entreprise commune est-elle vouée à l'échec? L'ombre de Black Jackplane sur le système, mais le gouvernement de Prime, la capitale syndic, dispose sûrement d'une flotte encore assez puissante pour rétablir sa loi. Et que se passerait-il si les intraitables Énigmas revenaient?Il faut apprendre. Apprendre la confiance, apprendre l'humanité. Mais il reste peu de temps et le chemin est difficile pour ces chevaliers à l'honneur terni.L'auteur de « La flotte perdue », la série de s.-f. militaire à succès que prolonge « Par-delà la frontière »,ouvre un troisième champ de romans imbriqués, celui des « Étoiles perdues ».