Le centre de gravité de cet ouvrage se situe dans une relecture dynamique et responsable de l'histoire de l'Afrique, en amont des schèmes serviles issus de la défaite de l'Afrique face à la volonté de puissance de la modernité occidentale, depuis le XVIe siècle jusqu'aujourd'hui. Les propos insultants du président Donald Trump, qui qualifiait les pays africains et Haïti de pays de merde, ont agi comme une provocation intellectuelle qui a poussé l'auteur à relever le défi de la dignité, de la fierté, de la responsabilité et de la prospérité de l'Afrique dans la géopolitique mondiale. (Propos du professeur Benoît Awazi)
La médecine traditionnelle doit-elle se moderniser pour avoir une autorité scientifique ? L'auteur disqualifie les préjugés sur la médecine traditionnelle africaine qu'il présente comme le moyen de reconstituer le composé humain dégradé par un « trop de science ». Le livre s'ouvre sur la nécessité de restaurer les essences de la forêt. Ce retour à la nature illustre la remise en question des procédés scientifiques de soins et d'alimentation qui devraient recourir à la médecine traditionnelle pour trouver le substrat des excipients.
Ce livre jette les bases d'un front commun à bâtir entre l'Afrique et l'Occident pour pouvoir stopper l'immigration clandestine qui décime la jeunesse africaine en Méditerranée et qui risque de détruire les Occidentaux. Il propose une alternative et formule des modèles économiques qui sont en adéquation avec les ressources budgétaires et naturelles des États africains pour parvenir à améliorer les facteurs de production afin de préparer une véritable industrialisation de l'Afrique et créer des emplois sur le sol africain sans provoquer ni le chômage ni l'inflation dans les économies occidentales.
Pour que la politique nationale de promotion de la cohésion sociale puisse connaître un véritable engouement et un véritable succès, la précision du rôle des préfets et sous-préfets, y compris en matière de gestion et de prévention efficaces des conflits communautaires, sont nécessaires. Il importe d'une part, de motiver, de renforcer les capacités et de responsabiliser davantage les autorités préfectorales, d'autre part, d'impliquer activement les organisations de la société civile.
« Et si le manque de développement au Bénin était le résultat du contenu et de la qualité de son système éducatif ? ». Une éducation du XXIème siècle qui doit former des générations de futurs travailleurs à des emplois qui n'existent pas encore et pour un monde inconnu se doit être innovante, flexible ouverte puis accessible à tous. L'auteur livre ainsi ses analyses objectives pour une école initiatrice du changement et du développement.
Ce nouveau numéro de Cultures et sociétés s'intéresse au "froid", en tant que ressenti mais aussi en tant que donnée. Élément déterminant de toute société humaine, la température forge les habitudes, oblige à l'adaptation, et modèle les rapports sociaux. Étudiant les rapports des hommes au froid, tant dans leurs aspects positifs que négatifs, la revue tend enfin à étudier la part mythifiée du froid et de l'hiver.
Ce texte, traduit pour la première fois en français, constitue une remarquable source de renseignements sur l'itinéraire du grand penseur tchèque, Jan Amos Comenius, et sur son rôle dans les échanges intellectuels de l'élite sociale, politique de l'Europe du XVIIe siècle. Appartenant à une Eglise réformée, en dehors de sa méthode innovatrice d'apprentissage des langues, il proposera les bases d'une sagesse universelle, la "pansophie".
Deux ans avant sa mort, en 1668, Jan Amos Comenius délivra au monde ce "testament" spirituel. Né dans une communauté spirituelle libératrice, il en devint assez rapidement le dirigeant, et prit la direction de la deuxième vague de la Rose-Croix du XVIIe siècle. Comenius nous incite à une exploration de la pédagogie thérapeutique spirituelle moderne. Dans L'unique nécessaire, nous voyons qu'aucun redressement profond de l'humanité ne peut ni ne pourra se faire si les trois aspects, corporel, psychologique et spirituel de l'homme aussi bien individuel que social ne sont pas sérieusement pris en compte.